Les nouvelles perspectives du numérique écologique

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Mieux définir les produits de demain en les projetant chez l’utilisateur final, réduire le nombre de données pour éviter d’aboutir à un monstre digital...




... et faire durer plus longtemps le matériel numérique : trois pistes à suivre pour rendre les menuisiers et miroitiers plus vertueux. Radioscopie.

 

Experte de la réalité augmentée, de la réalité virtuelle et de la modélisation 3D, la société Artefacto déploie depuis 20 ans des solutions logicielles intelligentes pour les domaines de l’immobilier, de l’industrie (eau, énergie, déchets et transports) et de la formation. Parallèlement, cette PME bretonne localisée à Betton (35) offre des solutions logicielles à ses clients, au rang desquels les menuisiers figurent à la première place.

 

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© Artefacto - Architecte DPLG, Valérie Cottereau est la directrice générale de la société Artefacto : « l’écoresponsabilité figure dans tous nos sujets. Il nous appartient de faire attention à ce que nos bases de données n’engendrent pas un monstre numérique »

 

En 2022, le comité de direction d’Artefacto a suivi trois jours de formation pour se sensibiliser, en transverse, à l’écoconception… et a découvert que ce sont bien les équipements électroniques d’une entreprise – PC, tablettes et Smartphones – les plus grands consommateurs d’énergie, loin devant les e-mails.

 

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© Artefacto - Développée par Atefacto, l’application Urbasee est utilisée par les menuisiers pour rassurer leurs clients. La réalité augmentée leur permet de mieux se projeter dans leur future véranda en appréciant le rendu des couleurs et des matériaux qu’ils ont choisis

 

Bien inspirée, Artefacto avait déjà mis en place dix ans auparavant une démarche de "bon père de famille" pour recycler ses différents produits informatiques. « Chez nous, un PC équipe d’abord la partie infographie de l’entreprise qui a besoin d’outils très puissants. Puis il descend chez les développeurs. Il est ensuite utilisé à un poste administratif. En finale, il devient un serveur qui effectue des calculs quand Artefacto conçoit du film. Et quand le PC sort du parc machines de l’entreprise, il est donné aux salariés ou aux écoles », explique Valérie Cottereau, directrice générale et fondatrice de la société Artefacto.

 

Pour les entreprises, l’enjeu de demain consistera bel et bien à faire durer environ 10 ans leur matériel informatique, soit trois fois plus que la moyenne de trois ans constatée aujourd’hui. « Tout le monde peut mettre en pratique ce modèle à la fois vertueux et moins cher », souligne Valérie Cottereau.

 

Éloigner le spectre du monstre numérique

 

Il y a deux ans, Artefacto a constaté qu’elle avait réalisé plusieurs milliers de lignes de code jamais été réutilisées ensuite, pour répondre à l’un de ses clients souhaitant un configurateur de pergola. Ce gaspillage l’a incité à modifier sa manière de faire : aujourd’hui, elle dispose de trois plateformes logicielles qui s’adressent à chacun de ses trois métiers. Et chaque fois qu’elle reçoit une commande différente, elle l’adapte à un type de plateforme logicielle. « L’objectif est de ne pas redéployer le code déjà produit pour de nouvelles demandes. Cette adaptation rend Artefacto plus réactive. Développées à moindre coût, nos solutions sont aussi plus fiables », indique Valérie Cottereau.

 

Pour rester à taille constante en poids de données plutôt que d’aboutir à un monstre numérique, Artefacto s’est imposée un codage propre, recetté, visualisé et documenté.

 

Elle étend cet enjeu à ses clients à l’aide de sa solution Urbasee™, une application conçue au départ pour développer des modèles de pergola et de véranda en 3D et éditer de catalogues de produits numériques, dispensant les menuisiers d’imprimer sur papier.

 

« Demain, la solution Urbasee™ donnera des informations marketing à nos clients. Elle sera en mesure de préciser que "Tel modèle n’a jamais été utilisé au cours des trois derniers mois. Les conservez-vous ou bien décidez-vous de les supprimer ?". Ainsi, nous inciterons nos clients à nettoyer eux-mêmes leurs bases de données. Nous pourrons également les informer en temps réel que "Le top 10 de vos produits correspond à ceux-là". La solution Urbasee™ constituera une boucle vertueuse pour tout le monde », se réjouit la directrice générale de la société Artefacto.

 

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© Groupe Elcia - L’équipe du Groupe Elcia sur le stand 100 % écoconçu - sans moquette, sans goodies et dont les éléments ont pu être revalorisés à 98 % - lors de l’édition Batimat 2022

 

L’impact environnemental des produits est également pris en compte chez Elcia dès le stade de la conception des logiciels destinés aux fabricants et industriels de la menuiserie. « C’est un sujet majeur vers lequel nous comptons aller et qui s’inscrit totalement dans notre démarche RSE. Nous pensons que le volet environnemental va jouer un rôle primordial dans notre secteur et que demain, les particuliers choisiront leur fenêtre en tenant compte de leur impact carbone. Nous souhaitons accompagner nos partenaires avec des solutions plus vertueuses, qui offrent plus de transparence sur l’empreinte carbone des produits de menuiserie, store et fermeture. Pour qu’en bout de chaîne, le particulier puisse faire des choix plus éclairés et responsables », plaide Fabrice Guérin, directeur marketing, communication et RSE du Groupe ELCIA.

 


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Audrey Conter-Ehrhardt, responsable marketing & communication d’AlloTools

 

Quand le papier devient interactif 

 

Quelles sont les démarches menées par AlloTools en faveur d’un numérique plus vertueux ? 

Tout d’abord, AlloTools S.A tend vers le zéro papier et a lancé fin avril le Devis Augmenté, un des modules immersifs proposé dans le nouveau pack Virtual Experience de BatiTrade, où nous repoussons encore les limites du possible pour nos configurateurs de menuiserie, fermetures et  protections solaires ; cette toute dernière fonctionnalité vient révolutionner l’expérience utilisateur dans un projet de produit et d’achat sur mesure.

 

Comment s’utilise concrètement le Devis Augmenté ?

Plus qu’un simple document de chiffrage, le Devis Augmenté se démarque par l’intégration d’un QR Code disponible sur l’annexe PDF du produit 3D configuré que l’utilisateur peut scanner depuis son Smartphone ou sa tablette. Entraîné dans une véritable expérience immersive et ludique, il peut ainsi visualiser facilement son projet en 3D dans son propre environnement via la Réalité Augmentée, sans avoir besoin de télécharger une application particulière. 

 

Quels sont les atouts principaux pour l’utilisateur ?

La Réalité Augmentée permet de lever les doutes sur d’éventuelles contraintes auxquelles le consommateur n’aurait pas pensé, comme une branche d’arbre trop proche de la pergola, un portail trop petit, etc., et qui font la différence pour valider, signer et déclencher rapidement l’achat auprès du professionnel. Cet outil véritablement différenciant pour les industriels… et le client final, permet ainsi d’interagir avec le produit devisé quelle que soit sa nature – portail, clôture, pergola, garde-corps, carport, etc. – valorisés depuis leur solution BatiTrade Configurator.

 

Quand les configurations BatiTrade tendent vers le zéro papier

 

Comment éludez-vous la problématique d’impression des documents téléchargeables ? 

Nous avons effectivement revu  l’aspect chronophage de l’impression papier  et le temps de leur génération en ligne. Nous avons réduit le nombre de pages à imprimer des annexes qui comprend des plans techniques et des vues 3D, et ce, grâce à notre nouvelle fonctionnalité de Devis Augmenté. 

Notre équipe technique a repensé, en concertation avec nos clients industriels, une refonte complète des plans techniques, en réduisant de près de moitié le nombre de pages en impression et en améliorant leur rendu. 

 

Gestion automatique du calcul de l’écocontribution sur les déchets PMCB (Produits et Matériaux de Construction du Bâtiment)

 

Comment AlloTools a intégré l’écocontribution dans ses fonctionnalités ?  

Pour répondre à la dernière réglementation législative sur la gestion des déchets PMCB avec la Responsabilité Elargie des Producteurs (REP), les équipes d’AlloTools ont développé en quelques semaines, grâce à une étroite collaboration avec les industriels, le calcul automatique de cette nouvelle taxe depuis les configurateurs BatiTrade, en fonction de la typologie du produit.

La présentation de l’écocontribution se matérialise simplement par une ligne supplémentaire dans les devis, à la suite du montant hors taxe de chaque projet.

— A.B.


 

Plus de visibilité sur l’origine des produits

 

Cette transparence a déjà commencé dans les logiciels d’Elcia avec l’indication du pays de fabrication dans les devis édités. Une précision précieuse pour le particulier qui souhaite de plus en plus connaître l’origine de ses fenêtres pour, potentiellement, pouvoir acheter local en toute connaissance de cause.

 

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© Groupe Elcia - Fabrice Guérin, directeur Marketing, Communication et RSE du Groupe Elcia

 

« Pour cela, nous devons avancer main dans la main avec nos partenaires fabricants pour promouvoir des offres plus responsables. Le gros travail de nos équipes pour intégrer le montant de l’écoparticipation des menuiseries dans notre configurateur est un bel exemple de réussite », se réjouit Fabrice Guérin.

 

Pour sa part, l’éditeur de logiciels pour les miroitiers Cilpak vend sa solution Optima afin d’optimiser la coupe du verre pour limiter les déchets. « Nous prenons en compte l’optimisation du code dans le process d’éditeur. Nous faisons en sorte que les documents numérisés prennent le moins de place possible dans le stockage de nos clients car cela impacte le coût de fonctionnement d’un serveur », relève Thierry Bailleux, directeur de Cilpak, dont les clients sont intéressés, en ce moment, à toujours mieux informatiser leur processus industriel, cherchant en effet à augmenter leur productivité et à disposer de plus d’indicateurs de gestion.

 

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© Groupe Elcia - Michel Brigini, administrateur Systèmes et Réseaux du Groupe Elcia

 

Les menuisiers sensibilisent de plus en plus leurs clients aux bienfaits du recyclage et imaginent des actions en ce sens. Ainsi, dans le cadre de la mise en place de la REP et de la DEEE, le groupe lyonnais Elcia a organisé des webinars : « les menuisiers n’ont que très peu de temps, l’information doit aller vers eux. Nous avons travaillé à simplifier les messages et à faciliter la compréhension de cette loi. Cela les intéresse : la preuve, nous n’avons jamais eu autant d’inscrits à un webinar ! », affirme Fabrice Guérin.

 

Cette sensibilisation passe aussi par des actions simples mais concrètes. « Notre stand 100 % écoconçu lors de l’édition 2022 de Batimat en est un bel exemple. Il n’y avait pas de moquette, pas de vaisselle jetable, pas de goodies… Ce n’est pas compliqué à mettre en place et pourtant cela contribue au zéro déchet. Et même au-delà du Salon ! La société Muto Event a récupéré 98 % des matériaux de notre stand pour leur offrir une seconde vie en les donnant à des associations, collectivités et ateliers. Conséquence : 4 tonnes d’émission de CO2 ont été évitées, soit l’équivalent de 10 allers-retours Paris/Madrid en avion ! Nous espérons inspirer notre secteur avec plus de stands ainsi vertueux », revendique Fabrice Guérin.

 

1 726 tonnes de matériaux recyclés chez Volma

 

Chez Volma, de nombreuses actions ont été mises en place ces dernières années afin de contribuer à la lutte contre le changement climatique. La principale est la gestion des déchets de production. « Sur ces quatre dernières années, nous avons réinjecté dans les circuits de traitement et de recyclage l’équivalent de 637 t d’aluminium, 712 t de verre, 173 tde PVC et 204 t de bois. Nous avons également transformé l’ensemble des éclairages de notre site pour de la Led », révèle Sébastien Coste, responsable communication de la société Volma.

 

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© Volma - Sébastien Coste, responsable communication de la société Volma, devant une des créations de l’entreprise exposée lors de  Batimat 2022, pointe les nombreuses actions mises place par le fabricant en faveur de l’environnement

 

L’entreprise a aussi repensé sa méthode de travail au sein des bureaux avec l’utilisation de doubles écrans à chaque poste et la suppression des imprimantes individuelles. Cette organisation a permis de diviser par deux la consommation de papier. La dématérialisation des factures a permis d’en réduire considérablement les envois papier, et donc l’impact carbone. « Notre objectif final est d’arriver au zéro papier. Notre configurateur en ligne, notre site Internet et les différentes vitrines numériques sur lesquelles nous sommes présents nous permettent de diminuer la demande, et donc l’impression de catalogues », souligne Sébastien Coste.

 

Cette année, Volma a entrepris l’installation de bornes de recharge dans ses locaux et les véhicules de l’entreprise ont été remplacés par des modèles hybrides. « En facilitant la recharge des véhicules électriques de la société et de nos visiteurs, nous encourageons l’adoption de cette technologie écoresponsable. En tant que société, il est de notre devoir de prendre des initiatives concrètes pour protéger notre planète et préserver les ressources naturelles pour les générations futures » affirme le responsable communication de Volma.

 

Les entreprises agissent également en confiant leurs Déchets d’équipements électriques et électroniques (D3E) à des filières spécialisées. Chez Elcia, deux leviers permettent la revalorisation du matériel informatique. D’abord, les PC, écrans, imprimantes et même le mobilier informatique sont donnés aux collaborateurs qui leur offrent une seconde vie, à l’image de ce que fait aussi Artefacto.

 

Brokers et recycleurs jouent un rôle précieux

 

Elcia collabore avec des entreprises centrées sur la revalorisation de matériel informatique (aussi appelées broker informatique), lesquelles stockent le matériel valorisable et s’engagent à le détruire suivant la conformité D3E s’il ne l’est pas. « Grâce à ce service, nous pouvons prolonger la durée d’exploitation de notre matériel informatique en étant fournis par des pièces de seconde main, révisées et garanties. Il faut savoir qu’un constructeur informatique n’a plus d’obligation de fourniture en pièces détachées au-delà de 5 ans. Les brokers nous permettent de pouvoir utiliser nos serveurs et autre matériel au-delà de cette date », précise Michel Brigini, administrateur systèmes et réseaux du Groupe Elcia.

 

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© Somfy - Somfy a développé des motorisations labellisées Act for Green® qui revendiquent une consommation inférieure à 0,5 Watt en veille

 

Somfy agit également très concrètement. En 2015, le géant savoyard des automatismes a créé le label Act For Green® afin de réduire l’impact environnemental de ses produits. Concrètement, les substances contenues dans les matières premières utilisées doivent satisfaire aux exigences environnementales et de santé : la vérification en est faite par un laboratoire externe. En outre, l’emballage du produit est dépourvu de polystyrène et de PVC au profit de fibres recyclées et recyclables. Somfy facilite aussi le recyclage et les réparations éventuelles de ses produits, fait baisser leur consommation électrique lors de la mise en veille (notamment pour les moteurs – moins de 0,5 Watt – et allonge la durée de vie des batteries.

 

« Somfy s’est engagé dans une démarche d’écoconception de grande envergure. Il s’agit de réduire l’impact environnemental du produit dès l’extraction des matières premières, en passant par la fabrication, le transport, l’utilisation, sans oublier la fin de vie. Actuellement, plus de 60 % des produits Somfy vendus sont déjà certifiés Act For Green®, ce qui va au-delà des exigences de la réglementation en vigueur. Notre objectif d’ici à 2030 : atteindre 100 % de produits écoconçus » rappelle Aurélie Montessuit, chargée de communication Somfy France.

 

En parallèle, Somfy a déployé un guide d’écoconception qui aide chacun à définir les leviers d’actions. Il contient des outils permettant de comparer l’impact environnemental de deux solutions pour une même fonction et ainsi choisir la plus performante. « Nous apportons une contribution importante à l’économie circulaire en adhérant aux systèmes de collecte et de traitement de nos produits en fin de vie dans le cadre de la directive européenne sur les Déchets des produits électriques et Electroniques (D3E) en place depuis 2010 », précise Aurélie Montessuit.

 

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© Somfy - Somfy adhère à l’éco-organisme Eco Système Recyclum (ESR) depuis plus de 10 ans pour le recyclage de tous ses moteurs

 

Mais quel est le rôle des éco-organismes face à l’enjeu du recyclage ? Réponse de Thierry Bailleux, directeur de Cilpak : « je pense qu’aujourd’hui les éco-organismes font de leur mieux, mais ils sont débordés car le sujet est très large et complexe. Beaucoup d’acteurs sont perdus du fait de l’imprécision des règles à appliquer au niveau de certains métiers. Au-delà des groupes, il nous manque encore des réponses pour vraiment associer plusieurs entreprises de miroiterie. Mais cela avance. Nous y verrons déjà plus clair à la fin de l’année, car certainement de nombreuses précisions auront été apportées et le nombre de points de collecte se sera vraiment développé. N’oubliez pas les discussions en cours sur les points de collectes dans les GSB. Une fois cela établi, la dynamique se développera sur les PME et les TPE. Donc à mon avis, le thème principal de sensibilisation pour les TPE-PME n’est pas la REP PMCB, mais bien la gestion des déchets dans les entreprises, dont la REP PMCB fait partie. Un miroitier aurait trois types de déchets : ceux qui seraient repris gratuitement par les éco-organismes contre écocontribution, les déchets courants plus ou moins bien triés et les déchets qu’il pourrait valoriser ».

 

Directeur marketing, communication et RSE du Groupe Elcia, Fabrice Guérin salue les éco-organismes : « ils jouent un rôle majeur. Ils sont même un vrai moteur dans le "verdissement" de la filière ! Tout d’abord, d’un point de vue organisationnel et logistique. Le maillage fin qu’ils font de notre territoire afin d’avoir des points de collecte répartis de manière logique et pratique est central, cest cela qui permet aux menuisiers de déposer leurs déchets en un minimum de temps ». Et de compléter : « ils jouent aussi un rôle important dans l’information et la communication. Les éco-organismes mettent de nombreux contenus pédagogiques à disposition du secteur pour mieux comprendre les enjeux et la réglementation. Les menuisiers sont très pris par leur activité, pour autant, ils sont dans l’attente d’informations, d’explications… et parfois même de preuves concrètes que cela fonctionne ! De notre côté, la démarche est encore un peu trop récente pour avoir le retour de nos clients. Nous n’avons pas encore assez de recul pour en tirer un premier bilan… ».

 

« Chez Artefacto, nous avons une vision d’écoresponsabilité dans tous nos sujets. Il nous appartient d’utiliser le numérique à bon escient », conclut Valérie Cottereau.                

 


Photo ouverture © Somfy - En 2015, Somfy a mis en place une action volontaire, dénommée Act for Green® pour réduire l’impact environnemental de ses produits, depuis l’extraction des matières premières jusqu’à la fin de vie. L’écoconception permet d’optimiser l’emploi des matériaux


Source : verre-menuiserie.com

L'auteur de cet article

photo auteur Jacques LE CORRE
Titulaire d’un DUT Information - Communication spécialisation Journalisme obtenu auprès de l’IUT de Bordeaux III, Jacques Le Corre est journaliste professionnel depuis 36 ans. Passionné par les grands enjeux économiques, il a relaté plusieurs grands défis industriels dans des magazines, notamment la construction du paquebot “Queen Mary 2” et la mise en place des programmes A380 et A400 M d’Airbus. Homme de terrain (texte et photos), il collabore avec V&MA depuis près de 4 ans.
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